Triste nouvelle...
Bonjour,
Triste nouvelle aujourd'hui, la perte d'un être cher.
Bien que la mort fasse également partie de la vie et est plus acceptable quand il s'agit d'une personne d'un certain âge. Que cette dernière souffrait et que l' on fond de nous on espérait que ça ne dure pas trop longtemps, qu'en cela arrive on culpabilise d'avoir eu cette pensée.
Je n'éprouve pas grand chose, comme si malgré l'évidence, je n'en suis pas encore consciente.
Pourtant, je ne suis pas dans le déni, je sais que jamais plus on ne se reverra, qu'on ne se taquinera plus, qu'on partagera plus nos idées très controversées...
Je me réfugie dans la satisfaction d'avoir pu lui dire au revoir, de lui avoir fait la promesse de veiller sur son épouse, de lui avoir donné mon accord non verbal de lâcher prise...
Il va me manquer, je ne sais pour quelle raison?
Nous n' étions pas unis par des liens familiaux, nous n' étions pas de la même génération, nous avions un point de vue sur le monde totalement opposé, malgré tout nous étions très proche par nos caractères assez semblables, nos silences, notre attitude.
Une grande gueule pour masquer ses souffrances, ses doutes, ses angoisses, sa fragilité.
Je me retrouvais un peu en lui.
Nous savions l'un comme l'autre que sous cette apparence de "roc" nous n'étions pas moins vulnérables.
Face à la mort, malgré ce soucis de ne pas inquiéter son entourage, comme tout être humain, il n'a pu cacher sa souffrance de ne plus savoir combattre, d'abandonner ceux qu'il aime.
J'apprends grâce à lui, aujourd'hui, que moi aussi je ressentirai cette souffrance malgré les apparences.
Que rien ne pourra me rassurer sur le devenir de ma famille quand il sera l'heure du grand départ.
Triste nouvelle aujourd'hui, la perte d'un être cher.
Bien que la mort fasse également partie de la vie et est plus acceptable quand il s'agit d'une personne d'un certain âge. Que cette dernière souffrait et que l' on fond de nous on espérait que ça ne dure pas trop longtemps, qu'en cela arrive on culpabilise d'avoir eu cette pensée.
Je n'éprouve pas grand chose, comme si malgré l'évidence, je n'en suis pas encore consciente.
Pourtant, je ne suis pas dans le déni, je sais que jamais plus on ne se reverra, qu'on ne se taquinera plus, qu'on partagera plus nos idées très controversées...
Je me réfugie dans la satisfaction d'avoir pu lui dire au revoir, de lui avoir fait la promesse de veiller sur son épouse, de lui avoir donné mon accord non verbal de lâcher prise...
Il va me manquer, je ne sais pour quelle raison?
Nous n' étions pas unis par des liens familiaux, nous n' étions pas de la même génération, nous avions un point de vue sur le monde totalement opposé, malgré tout nous étions très proche par nos caractères assez semblables, nos silences, notre attitude.
Une grande gueule pour masquer ses souffrances, ses doutes, ses angoisses, sa fragilité.
Je me retrouvais un peu en lui.
Nous savions l'un comme l'autre que sous cette apparence de "roc" nous n'étions pas moins vulnérables.
Face à la mort, malgré ce soucis de ne pas inquiéter son entourage, comme tout être humain, il n'a pu cacher sa souffrance de ne plus savoir combattre, d'abandonner ceux qu'il aime.
J'apprends grâce à lui, aujourd'hui, que moi aussi je ressentirai cette souffrance malgré les apparences.
Que rien ne pourra me rassurer sur le devenir de ma famille quand il sera l'heure du grand départ.
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